L'éditeur de Downcodes vous fera découvrir une recherche physique imaginative ! Inspiré par son propre chat, le scientifique espagnol Anxo Biasi a en fait publié un article sur les équations du mouvement pour les chats, transformant les chats chéris des médias sociaux en sujets de recherche en physique ! Cette étude combine intelligemment la mécanique classique avec les comportements quotidiens des chats, en utilisant des modèles physiques simples pour expliquer divers comportements « étranges » des chats, comme ne pas écouter les salutations, être facilement distraits, etc., et même le ronronnement emblématique des chats et ". Half Hour of Madness" ont été incorporés au modèle. Es-tu prêt? Entrons ensemble dans ce monde amusant de la science !
Une étude révolutionnaire a transformé les chats, chéris des médias sociaux, en sujets de recherche en physique. Anxo Biasi, chercheur à l'Institut de physique des hautes énergies (IGFAE) de Galice, en Espagne, s'est inspiré de son chat Eme et a publié un article unique sur les équations de mouvement du chat dans l'American Journal of Physics.
Le jeune physicien, qui a auparavant effectué des recherches à l'Ecole Normale Supérieure de Paris, rejoint désormais l'IGFAE via le programme La Caixa Young Leaders. L'intention initiale de ses recherches est de diffuser les connaissances en physique d'une manière intéressante et de permettre aux étudiants de ressentir le charme de la physique. Ce qui a commencé comme une plaisanterie le jour du poisson d'avril s'est finalement transformé en un article académique rigoureux.
Sur la base d'interactions quotidiennes avec son chat bien-aimé Eme, Biasi a résumé sept modèles de comportement typiques et a émis l'hypothèse que le comportement des chats semble être affecté par une force autour des humains. Dans ce modèle, le chat est réduit à une particule suivant la mécanique newtonienne, dont le mouvement est affecté par l'énergie potentielle externe générée par la présence des humains.
Cette équation prend en compte plusieurs facteurs : x(t) représente la position du chat à l'instant t par rapport à la personne à l'origine (x=0), m représente la masse du chat et ε est le coefficient de frottement qui rend compte de la fatigue du chat. . À l’aide de cette équation, les chercheurs peuvent expliquer des traits de comportement tels que le fait que les chats ne réagissent pas, sont facilement distraits et préfèrent être sur les genoux de certains humains.
L'article fournit également une analyse approfondie du ronronnement emblématique des chats, le décrivant comme un mécanisme de stabilisation. Lorsqu’un chat ronronne lorsqu’on le caresse, les humains seront enclins à continuer à le caresser, créant ainsi une boucle de rétroaction positive. Dans le même temps, la recherche a également exploré le fameux phénomène fou d'une demi-heure des chats (communément appelés zoomies), en ajoutant des variables aléatoires à l'équation pour simuler ce mouvement violent et soudain.
Cette recherche est non seulement intéressante, mais elle a également une valeur pédagogique importante. Biasi a souligné que l'article était adapté aux cours d'introduction à la mécanique classique, montrant comment un comportement apparemment complexe et sans rapport peut être expliqué par des lois physiques simples. Réduire la difficulté pour les apprenants de comprendre des concepts abstraits grâce à des modèles dynamiques faciles à comprendre.
Cette recherche innovante nous donne non seulement une nouvelle perspective sur le comportement des chats, mais démontre également le pouvoir de la physique pour expliquer les phénomènes quotidiens. Comme le disait Biasi : La physique n'explore pas forcément les mystères les plus profonds de l'univers, parfois c'est aussi amusant de l'utiliser pour expliquer la vie quotidienne !
Référence : https://phys.org/news/2024-10-physicist-cat-reveal-equation-motion.html
Et si vous le trouviez intéressant et instructif ? L'éditeur de Downcodes estime que la science n'est pas toujours mystérieuse, elle peut aussi être pleine de plaisir ! Attendons avec impatience d’autres recherches scientifiques aussi créatives !